Réponse
Le prélèvement d’organes ou de tissus sur une personne décédée n’est autorisé que lorsque le décès a été constaté avec certitude. Deux médecins dûment qualifiés doivent confirmer que le cerveau et le tronc cérébral ont définitivement arrêté de fonctionner (on parle aussi d’un diagnostic de mort cérébrale). Les examens et tests doivent être effectués conformément aux directives de l’Académie suisse des sciences médicales (ASSM). Les médecins qui constatent le décès ne doivent pas faire partie des équipes médicales qui effectuent le prélèvement ou la transplantation. Informations complémentaires à ce sujet : Constatation du décès dans la médecine de la transplantation