Réponse
En principe, il ne faut rien faire. Le consentement présumé signifie que les médecins peuvent partir du principe qu’une personne qui n’a pas exprimé son refus de donner ses organes et tissus est donneuse après sa mort. Il reste toutefois utile de consigner son consentement au don, par exemple dans le registre, et de le communiquer à ses proches..